Si nous savons qu’il
existe la digitale pourpre, (rouge foncé tirant sur le violet )…
Que celle-ci fournit
la digitaline, poison violent à certaines doses…,
Que certains Résistants portaient sur eux une capsule de ce
poison …
Qu’au matin
l’interrogatoire laisserait un visage tuméfié, violet, cramoisi …
Que ne rien dévoiler,
ne rien donner , ne rien DIRE était
obsessionnel …
relisons le poème…
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